L’engouement pour le BDSM a assurément pris de l’ampleur suite à la sortie du livre « 50 nuances de Grey », et l’adaptation cinématographique de cet ouvrage très vaguement sado-masochiste n’a fait qu’accentuer le phénomène. Comme le sujet m’inspire, je me suis dit qu’il pouvait être intéressant de d’examiner le mode de fonctionnement et la nature de la relation décrite dans ce livre et pour l’occasion de tordre le cou à un certain nombre de mythes qui sont apparu « par sa faute » dans les médias généralist
La définition de l’acronyme BDSM explique qu’il s’agit d’une relation dans laquelle l’un(e) des partenaire(s) prend le rôle de la personne dominatrice alors que l’autre prend la posture de la personne soumise . Le principe est finalement assez simple : dans le cadre de cette relation vont s’appliquer des restrictions, elles peuvent être physique (comme le bondage/shiri ou psychologique : la personne dominatrice (femme ou homme !) peut établir des règles que la personne soumise (femme ou homme, là encore) d
La femme dominatrice ou l’ homme dominateur est dans une posture de pouvoir et d’autorité, tandis que la femme soumise ou l’ homme soumis est dans une posture d’impuissance et de vulnérabilité. C’est le but recherché par chacun d’eux. Leur relation, qui constitue parfois une inversion des rôles par rapport à leur posture sociale est ici pleinement consensuelle et elle est soumise a des mots convenus (en anglais, on parle de Safeword). Ces mots convenus à l’avance, permettent à la personne dominée de fair